samedi 31 août 2013

Choix et description de l’organisation soldat de 1870


Dans l’article précédant, je présentais mon parcours personnel, les liens et raisons de mon intérêt pour la guerre de 1870-1871.

Ainsi après 3 ans à me spécialiser sur la guerre de 1870 doucement chaque jour, à accumuler des pistes, le projet semblait mûr.

Pourquoi tant d’hésitation ?
Autant les recherches sur la guerre de 14-18 sont documentées, il existe des sources sures et fiables : Site SGA mémoire des hommes, le site sur les sépultures de guerre, les journaux de marche, les historiques régimentaires, les listes des prisonniers sur les journaux de 14-18. Les registres de matricules.
Des forums à foison, très bien structurés et documentés.
Il est possible de croiser l’ensemble des sources, de rebondir avec les forums. 

Autant pour la guerre de 1870, il n’existe pratiquement rien. Ou alors tellement dispersé, ou incomplet. De plus, pour les soldats qui sont décédés dans les ambulances militaires, souvent, ils ne sont pas inscrits dans le registre d’état civil du lieu de décès et bien que les hôpitaux militaires aient envoyé une copie de l’acte de décès à la mairie de la commune de naissance, l’acte de décès souvent n’a pas été retranscrit. Il y a une très grande diversité de régiments. 

Cependant, tout généalogiste, devant tous ces noms qui sont inscrit sur les monuments, les plaques ne pouvaient ne pas se poser des questions ?

QUI étaient-ils, D’où venaient-ils ? et d’autres… 

Devant les difficultés et la dispersion des informations, je décidais de définir le contour de cette étude et donc ses limites et la structure mise en place. 

1.       Présentation de l’étude :

A l’aide de GénéaNet, je souhaite créer une base des soldats de l’Armée de la Loire décédés lors de la guerre de 1870 et dans la mesure des informations que je croiserais, et d’autres soldats de ce conflit.

Pourquoi l’armée de la Loire ? mon fil rouge, ce sont les monuments commémoratifs, ils guident ma recherche. Ils sont le point d’appui car ils sont liés à des évènements et m’indiquent OU regarder, ou du moins une direction. Avec l’aide de la page >>>Opérations<<< du site Armée de la Loire.
Dans une période chronologique comprise entre le 02 décembre 1870 et le 19 janvier 1871.
Dans une zone géographique, comprise de Loigny ( 28) à Laval (53),
soit les départements : 28-37-41-45-49-53-72

2.       Les supports

Chaque généalogiste a ses méthodes de travail et ses logiciels. Concernant les méthodes.
Je préfère travailler à partir d’une structure –d’une ossature
A l’aide de GénéaNet, dans la page >>> Chronique familiale <<<
J’ai défini 3 parties :
Classement par unité : Infanterie – cavalerie – artillerie – unité inconnu.
Classement par monument : .28-37-41-45-49-53-72 ( <- ma zone géographique de recherche)
Classement par officiers 

En cliquant sur Infanterie, une nouvelle page : il apparait 13 catégories différentes d’infanterie. De plus, il y a 100 régiments d’infanterie de ligne en 1870.
Avec les circonstances de la guerre, suite aux nombreuses défaites, des régiments de marche ont été créé et des régiments de Mobiles ont rejoint l’armée. 

De plus, pour permettre de futurs recoupements : il est possible sur la fiche d’une personne d’indiquer plusieurs titres :
Exemple : >>>Almire Lepron<<< 

En Titre : son unité : 33e Mobiles – son bataillon et compagnie – son grade – son département de naissance.

Ainsi en cliquant sur le titre suivant un des critères, GénéaNet, automatiquement génèrent une liste. Pratique pour déterminer tous les soldats d’un même département.

Pour les officiers, par exemple : >>>Dominique d’Aure <<<
j’ai rajouté Saint-Cyr, et LH : Légion d’Honneur.
De plus, il est possible de lier, des actes et des monuments à une personne sur ce site.

Ainsi Généanet permet une indexation gratuite, une possibilité de classification, une sauvegarde gratuite, et une diffusion dans les autres arbres (ce que je souhaite) par le phénomène du copiage. Je souhaite que ces soldats ‘retrouvent’ les arbres généalogiques de leur famille. L’ensemble des documents, photos, noms étant accessible gratuitement. 

Cela me permet une approche désorganisée, multi-sites, multi documents, dans le désordre chronologique ou géographique, bondissant de l’un à l’autre,  dans une structure qui rangera les soldats par catégorie (régiments, département,…) tout en restant modifiable en cas d’oubli.

La base à défaut d’être un listing complet de noms, mon autre objectif est une généalogie documentée. Je préfère à mon goût, une généalogie plus petite en nombre de soldats, au minimum juste (les dates et lieux), si possible riche en informations vérifiées et vérifiables concernant chaque soldat qu’une accumulation inexploitable de noms…


J’ai croisé aux cours de mes recherches plusieurs sites ou pages concernant 1870.

Avec >>>pearltrees<<<, cela permet de ranger toutes ces informations et de les rendre publiques. 

Dans la perle Généalogie Militaire : celle-ci se décompose en 4 perles principales.
* perle : Archives nationales : puis A.D  pour retrouver les adresses des archives numérisées.
* Perle : Militaria : C.D.V, médailles, …
* Perle : la+ importante : guerre 1870-1871, qui se décomposent :

- Les hôpitaux : document gallica.
- Second Empire : divers sites, et surtout l’annuaire militaire de l’empire Français pour l’année 1870. Les annuaires militaires chez gallica de 1850 à 1863.
- Régiments : uniquement quelques régiments de mobiles.
- P.G 1870 : les prisonniers de guerre de 1870, quelques pages et documents.
- Monuments 1870 : sites, liste non exhaustive pour les lieux des monuments.
- Relevés- Etudes Généalogique 1870 : les diverses pages avec des relevés de soldats décédés en 1870, notamment celui Serge Motte et celle sur généanet de Dominique Firmery.
2 extraordinaires bases, mais à titre personnel, difficilement exploitable. 

Le pearltress n’a pas de vocation pour la communication, il me permet d’illustrer graphiquement les diverses sources et autres informations de documents existant sur le net. C’est pour ma part un classeur numérique. Il me permettra de compléter l’étude sur GénéaNet. 

* Perle : Militaires : les sites classiques.

- Dans la perle : Officiers,
un document très riche, «  Guerre 1870-1871, état nominatif par affaires et par corps des Officiers tués ou blessés dans la deuxième partie de la campagne par A. MARTINIEN »
- Dans la perle Saint-Cyr : des annuaires et surtout celui de 1905 – qui reprend la liste de tous les élèves de l’école depuis 1818. 

Il me reste plus qu’à alimenter cette base, je me fixe comme objectif dans un premier temps de retrouver 200 sarthois morts pour ce conflit. Bien sur, en complétant avec les autres soldats que je trouverais en même temps sur les registres. Comme par exemple :

>>>Antoine Allabert<<<, mobile de l’Isère, avec une transcription rajoutée à peine visible en haut à gauche du registre.

jugement acte de Décès Antoine Allabert
 

Voici donc une approche généalogique parmi d’autres possibles, sur ce projet et la structure de celui-ci, en espérant avoir été assez compréhensible. 

A la question : Mais pourquoi faire ce blog ?
Pour permettre l’échange, la communication, avec vous lecteurs, sur ce thème, sur les trouvailles que vous avez fait sur le Net, une entre-aide, vos questions, des précisions…ou autres, établir un dialogue généalogique… 

Cordialement et merci de m’avoir lu jusque la…
Frédéric

 

 

dimanche 25 août 2013

De la guerre de 14-18 à la guerre de 1870


1.       Famille Mayet, oncle et neveu mort à la guerre

Parmi les documents de ma famille, figurait ce document : un diplôme à la mémoire d’un soldat mort : Auguste Mayet (1881-1915), en fait l’oncle de mon grand-père paternel. Le beau-frère qui ne reviendra pas de la guerre de mon AGP. Mais personne, dans la famille ne pouvait me dire, ou il était enterré, comment il était mort…

Grâce à 2 sites : Mémoires des hommes et MemorialGenWeb, je trouvais à la fois sa fiche, son inscription sur un monument aux morts de Sillé-le-Guillaume. Et sur le site SGA/ sépultures de guerre, son dernier lieu d’inhumation.

J’avais beaucoup de chance d’avoir autant d’informations par internet, sans la fiche de matricule.
Je savais que son oncle Auguste Mayet (1843-1870) par les documents de familles remis, une étude du patronyme Mayet en généalogie descendante était décédé à la guerre de 1870. Cependant aucune idée du lieu de décès (et toujours aucune idée actuellement).

Je trouve remarquable le travail de recensement de MemorialGenweb. Grâce à une entre-aide généalogique, chacun relevant dans son secteur, les informations sur les monuments aux morts. Aussi observant une absence de photo sur les monuments du cimetière de Château-Renault (37), ou je vis actuellement, je me rendais sur place les photographier.

Je découvre ce monument de 1870 au cimetière.
Monument 1870 à Château-Renault (37)
 
 
A l’époque MemorialGenWeb ne prend les photos des monuments sans nom. Et je découvre le site Armée de la Loire : et je décide d’envoyer la photo à ce magnifique site.

2. Suivez le monument :

Ainsi commence, un incroyable enchainement mélangeant, généalogie, histoire familiale, monument commémoratif.

Cherchant des informations sur Auguste Mayet (1843-1870) sur le site loire1870, il apparait ceci
 
Ce n’est que le début, il apparait sur le monument de la lune dePontlieue (72): ce monument se trouvait sur une place à Pontlieue au Mans dite « lune de Pontlieue » de 1873 à 1970, le monument a été déplacé vers le cimetière sud au Mans (72).

 

il faut savoir que le quartier de Pontlieue au Mans est le lieu de vie de mes grands-parents depuis 1910 jusqu'à 1999.

J’achète des cartes postales anciennes,
 
je les montre à mon père, il me dit qu’il connait bien ce monument, il l’a connu in situ. Mon grand-père emmenait mon père enfant, lors des commémorations, à ce monument, il n’en connaissait plus la raison. Alors je lui indique qu’un de nos ancêtres, le grand-oncle maternel de son père figure sur ce monument.

Sans cet incroyable enchaînement de circonstance :

Soldat de la guerre 14 – memorialGeWeb -monument de 1870 à Château-Renault – site loire1870 – Carte postale ancienne, je n’aurais pas montré cette C.P.A à mon père, je ne connaissais même pas ce monument. Ainsi se mélange histoire familiale – la guerre de 1870 – Monument dans la ville du Mans, lieu de bataille de la guerre de 1870, avec le monument de Chanzy.
Monument de Chanzy, Le Mans
 

Alors, je m’interroge, cela fait beaucoup de coincidence, puis 1 autre évènement va me décider : nous sommes en vacances en famille au bord de la mer, à Chatelaillon-Plage (17), nous marchons sur la promenade sur bord de mer.

Et nous tombons sur ce monument :
Monument 1870 à Châtelaillon-Plage (17)

En rapport avec la guerre 1870. J’envoie la photo sur le site loire1870.
 
Il m’est impossible pour le généalogiste amateur, pour l’histoire familiale de ne pas m’investir de plus en plus sur l’étude de cette guerre. Ou que je sois ou que j’aille, je tombe dessus.

 

3. des monuments de 1870 à la généalogie de 1870

Il me paraît évident en 2010 que je dois suivre la piste des monuments, plaques commémoratifs que je dois les photographier pour les préserver de l’oubli. Ainsi durant ces dernières années, après recherche, dans mon secteur géographique : 37 -41, je photographie les monuments en rapport avec cette guerre et j’envoie les photos au webmaster du site loire1870.

Au fur et à mesure, il apparait des noms sur les monuments :

Alors Michel, le webmaster du site, réorganise des pages : exemple Loir et Cher et même les autres départements. 

Nous échangeons sur ce sujet, comment intégrer harmonieusement toutes les informations qui ressortent, le site est un site historique, il n’est pas configuré/adapté pour la généalogie. La question que Michel se pose est la redondance avec d'autres sites de généalogie. La question n'est toujours pas tranchée car il n'y a pas de réponse simple. Tout est à faire.
 
Un autre évènement va me décider, en parcourant le web, je découvre un internaute. Il possède une liste, avec de nombreux détails, de 63 noms de soldats décédés à l’ambulance du Château de Menars (41). Sans perdre un instant, je rentre en contact avec ce passionné de l’histoire militaire et du militaria, par l’intermédiaire de son site «  Militaria français- Chasseurs de mémoire ». Il a pour projet d’établir une plaque commémorative sur ce monument. Il m’a remis une copie des registres des décès rédigé par l’ambulance militaire et une copie des registres paroissiaux.

Aucun de ses actes ne figure sur les actes civils de la commune ( et pour cause, ils n’ont pas été retranscrit). J’effectue un travail de recherche généalogique afin de mieux identifier la parenté de ses soldats. Avec mon expérience, et surtout la numération des archives dans beaucoup de département, celui-ci devient possible. 

Ainsi, après avoir photographié des monuments pendant 3 ans, ( ce n’est pas fini), il y a suffisamment de donnée pour commencer un travail de recherche généalogique.

A l’évidence, qui d’autre pouvait commencer ses recherches généalogiques ?
De part mon parcours, mon expérience, mon envie, je devais me lancer.

 
Dans le prochain article, j’aborderais les choix retenues, les sources, la préparation, l’organisation pour collecter sérieusement les données, car je ne suis qu’au début, au lancement de ce projet…

vendredi 23 août 2013

Qui-suis-je ?


 

Qui-suis-je ?


Je suis un généalogiste amateur.

Après le décès de mon grand-père paternel (1907-1991), à mes 18 ans, j’ai ressenti le besoin d’établir ma généalogie ascendante. Commencée en 1991, par l’envoi de courrier aux mairies, attendant fébrilement les réponses, le démarrage fut difficile. La découverte des archives du Mans, située à l’époque dans une ancienne caserne et des microfilms sur bobines, une aventure mémorable et archaïque, j’étais bloqué pour mon arrière grand-père paternel et ma grand-mère maternelle enfant abandonnée à Paris en 1914, décédée en 1972.

Donc coincé dès le départ sur 50% de mes ancêtres. J’étais si jeune et si désorganisé mais en pouvait-il être autrement ?

J’ai donc appris la patience et l’obstination. Je parviens à débloquer ma branche sur mon patronyme. Seulement j’étais au-delà des 100 ans, les mairies ne répondaient plus aux courriers, et poursuivant mes études supérieures, je ne pouvais me rendre facilement aux archives au Mans. En 1999, mes 4 grands-parents étaient décédés, j’avais le sentiment d’être totalement coupé de mes ancêtres et je restais sans réponse à mes questions, mes oncles et tantes et parents ne s’intéressaient pas à ce passé.

J’étudiais à fond les maigres courriers et documents photocopiés issu des bobines du Mans que je possédais. J’établissais mes listes, mes projets, mes hypothèses, bref j’étais surtout bloqué partout. Un apprentissage de la généalogie à la dure et à l’ancienne.

Mais une passion ne s’éteint pas, elle se nourrit avec le temps…, car au-delà de la question « Qui-suis-je ? » je voulais savoir « d’où je venais ? » « Quelle était notre histoire familiale ». 

En 2003, les Archives de la Mayenne sont numérisées et misent en ligne, une révolution à l’époque qui se poursuit encore aujourd’hui. En juin 2005, les archives de la Sarthe mettaient en ligne, l’intégralité des actes civils jusqu’en 1850.

Cela allait se traduire aussi par une révolution dans ma généalogie, je prends un abonnement à Généanet et je reprends mes recherches. Alors je plonge dans une boulimie de généalogie, d’une généalogie ascendante, je passe à une généalogie agnatique qui devient une étude de recensement sur mon patronyme dans un secteur géographique donné : Aux alentours de la Flèche-Crosmières- Durtal. Puis à partir de mon sosa le plus élevé sur mon patronyme, je pratique une généalogie descendante patronymique, à la recherche sans doute de cousins au XXIe siècle.

Dans le même temps, j’intègre dans mon arbre, à la fois à l’aide de Généanet (le copiage avec vérifications des données) et la lecture des actes, beaucoup de mariage des branches collatérales de mon arbre sur une période de 40 ans dans un même village.

Ainsi commence à se dessiner une triple structure dans mon arbre en ligne.

Axe 1 : Mon arbre ascendant, mon arbre descendant patronymique
Axe 2 : L’étude de mon patronyme sur quelques communes limitrophes ( sans lien de famille avec moi)
Axe 3 : Les mariages collatéraux sur la commune de Crosmières (Sarthe)
Je travaillais les 3 axes en même temps, chacun axe nourrissant, complétant, éclairant l’autre axe.
A force, je regarde tous ces parcours qui se croisent et se recroisent, je commence à comprendre qui sont les parrains-marraines et autres témoins aux mariages, les alliances des familles et les cousinages entre-elles, sur la commune de Crosmières sur la période 1680-1720. Et mon patronyme de 1650 à 1914 sur Crosmières.
J’apprends énormément de technique et de savoir faire, lors de ces recherches, je reprends apaisé ma généalogie ascendante sur les autres branches.
Alors je pouvais répondre enfin à cette question « d’où venait ma famille »  et notre histoire familiale de 1590 à 2013. Acceptant enfin cette part d’inconnue sur les ancêtres de ma grand-mère maternelle.
Etant devenu le dépositaire de la mémoire ancienne de ma famille paternelle, celle-ci m’avait donné des papiers de famille, des photographies anciennes, des médailles militaires, un diplôme à la mémoire d’un soldat mort durant la grande guerre et autres documents que gardait précieusement mon grand-père paternel. Et une recherche généalogique sur le patronyme de la mère de mon grand-père paternel.
 
J’étais enfin préparé et documenté pour étudier, décoder, identifier ses documents… Je comprenais aussi que notre mémoire historique familiale n’était pas perdue, elle était simplement morcelée, éparpillée entre les différents membres de la famille. Chacun avait mémorisé, un fait, une anecdote que mon grand-père paternel leur avait transmit.

En fait, je découvrais que dans l’éducation reçue par mon père depuis son jeune âge, mon grand-père avait transmit oralement, une grande partie des lieux, des monuments en rapport avec notre mémoire familiale, mais à 10 ans, mon père ne pouvait en saisir l’importance… je le vois bien aujourd’hui avec mes enfants. Mon père fut de nombreuses fois, voir à chaque fois, la Clé, pour débloquer la généalogie agnatique mais il ne connaissait pas l’importance et la qualité des informations transmises par mon grand-père, son père…

 

Ainsi mon père est le dépositaire de la mémoire historique de la famille sans le savoir lui-même. Tout s’éclairait, ce besoin de connaître mes ancêtres, notre histoire, l’imprécision des réponses, le sentiment d’une histoire familiale qui disparaissait. En fait, non, elle était simplement enfouit et non encore transmise dans la mémoire de mon père. Je pouvais enfin sereinement la recevoir et la transmettre (de façon documentée) aux générations suivantes… Ma conscience sur la mémoire de la famille et sa transmission s’était réveillée beaucoup trop tôt et celle de mon père avait tardé à venir 

Dans le prochain article, j’aborderais le thème de la guerre de 1870… et les liens avec ma famille et donc le choix de ce thème pour ce blog.

Sommaire

Sommaire

 
 
1. Qui suis je ? article du 23 août 2013.

2. De la guerre de 14-18 à la guerre de 1870 , article du 25 août 2013.

3. Choix et description de l'organisation soldat 1870, article du 31 août 2013.

4. Inauguration, reconstitution, article du 29 septembre 2013

5. Monument de Ménars, article du 16 novembre 2013